Couverture

Mon album sur la Birmanie sera traduit au Brésil. Youpi ! Mais par contre, ils ont cru bon de changer le look de la couverture. Un peu moins youpi, parce que c’est pas terrible, comme vous pouvez le constater ci-contre.

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Je sais pas pourquoi les éditeurs se sentent obligés de retoucher les couvertures des albums qu’ils vont publier. Par exemple, Pyongyang à l’origine comme ça
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Parfois, c’est pour les inclure dans une collection qui possède un style graphique particulier. Bon, pourquoi pas.
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Parfois, c’est pour les rendre plus attractifs en ajoutant de la couleur. Bof.
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Et parfois, c’ est simplement incompréhensible.
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Et pour revenir au Brésil, voilà leur chef-d’œuvre :
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21 thoughts on “Couverture”

  1. BOnjour,
    Pour cronicas Birmanesas, ils ont changé la couleur du bas.
    C’est bien cela?
    Pourquoi ne trouves tu pas cela terrible?

  2. @Bobo, je n’aime pas le jaune ocre avec un fond vert kaki. C’est pas terrible.

    @Thomas, en théorie oui mais en réalité une fois les droits vendus l’éditeur fait ce qu’il veut. Une fois les copies imprimées, on peut plus faire grand chose.

  3. Le directeur artistique de Zarabatana est peut-etre tout simplement mauvais. 😉 (ou daltonien)

    J’avoue que pour le cas Japonais je ne comprend pas bien non plus, on dirait un manuel scolaire. Le Coreen est amusant avec cette espece de censure du slogan du Nord.

    Felicitation pour la publication tout de meme.

  4. Hi Guy!

    I´m from Brazil, and i very happy to see that your new book will be avaliable here soon.
    Zarabatana is a really good publishing company, i´m try to publish my book there too.

    I read pyongyang, and it´s a amazyng book.Congractulations.

    best,

  5. Bon, crois-je qu’en Espagne, astiberri respecte-t-je le portail origianl, non ? , j’espère que si pourquoi je me viens d’informer que cette a la vente et dois déjà m’acheter le 🙂 Attends ton retour de terres Israéliennes pour voir ton travail suivant… es ce qui est Canadien davantage de voyageur que je connais. Des salutations pardonne mon français pathétique

  6. Celui du Japon est plutôt impressionnant…

    Lorsque tu voyages, tu ne te sens pas obligé de dessiner ? Je veux dire, un bon livre part généralement d’une envie au fond de soi. Mais si les voyages dépendent de ta femme, ça t’arrives de ne pas en faire de compte rendu narratif ?

  7. Ben, honnêtement j’aime assez cette version. Elle a le mérite de récréer des plans et d’offrir une nouvelle lecture de votre dessin avec le personnage qui semble plus isolé, plus décalé 🙂
    Et, un grand merci pour vos livres que j’ai eu un énorme plaisir à lire.

  8. Super pour cette nouvelle traduction.

    Je déteste pas le Brésilien de Pyong Yang mais pour CB, en effet, c’est poche ce jaune.

    En japonais, pour PY, le nom du traducteur est aussi gros que le tien et sur la couverture. Ils ont un bon syndicat les traducteurs japonais.

  9. Je ne comprends vraiment pas que des graphistes aient l’autorisation de telles manipulations. A croire qu’on n’arrive pas à considérer le dessin d’une couverture comme un véritable dessin (intouchable) mais qu’on le voit comme une sorte de plate-forme malléable pour communication visuelle. Le dessin initial perd alors toute autonomie et devient un simple instrument qu’on peut bidouiller dans tous les sens sans complexe.
    (Les albums de Tintin échappent peut-être à ça (c’est que la Société Moulinsart veille !))
    Rageant.

  10. Je relis les Chroniques birmanes là et je trouve ça super, bravo. C’est intéressant, drôle et j’ai la sensation que cela me permet de découvrir des aspects de la Birmanie (comme de la Corée du Nord ou de la Chine) que je n’aurais eu aucune chance de découvrir.

    A quand l’album sur Jérusalem?

  11. Hi Guy.

    I just stopped by. I am deeply touched by your book about Burma. I was there myself at the sam time as you I think. Me and my wife drove around the country with my friend Lay Ko Yi and his friend Min Min.

    I hade the most fantastic time there, and really want to go back after reading your book. It’s really strange, that you actually want to travel back into this bizzarre and oppressed country. But I guess the friendlyness of the Burmese people is the reason.

    I adore your work, and I am going to buy Shenzan now, so I have all of the travelogues.

    Thanks
    OWG

  12. En plus, c’est évident que le jaune n’est pas dans ta palette de couleurs ni dans celle de Louis.

  13. Guy-
    Just a note to say how much I love your travelogues. I have just read all three and honestly feel like I have been there. I read alot of graphic novels but you are in a class by yourself. Truly great work. I can’t wait for your next adventure in third world bureaucracy!

    G

  14. Bonjour Guy, ca va ?

    D’abord je dois te dire qu’on ne se connaît de rien.
    Je viens simplement de lire tes livres : Pion yang et Chroniques birmanes (en espagnol). Je dois t’écrire pour te dire Bravo !!!!!!!!

    C’est mon frère (désignateur) qui m’avais parlé de tes livres, car je travaille dans le humanitaire et de fois j’écrire mes histories sur les choses drôles qui t’arrivent quand tu est expatrié (la coïncidence fait aussi que ma « petite amie » travaille pour MSF )

    D’un coté tu m’a découragé pour continuer à écrire puisque j’ai trouvé ta manière de raconter les choses de une forme magistrale et très amusante (je ne trouve plus bonne mes écrit). Encore Bravo.

    De l’outre coté je suis content de t’avoir découvert (avec du retard…) et je vais chercher à lire plus de ta bibliographie,

    Ahhhhhh mon ami, tu m’a fait rire beaucoup pendant le nuits en solitude dans les petits hôtels perdu au milieu du Sahel après chaque visite sur le terrain.

    MERCI POUR TON BON BOULOT !!!!!!!!!!!

    Un lecteur qui t’envoi salutations depuis le Burkina Faso.

    Fernando Marin

  15. Bonjour Guy!

    Je suis très content de voir que tes travaux sont publiés ici en Brésil et j´air déjà acheté l’édition de Pyongyang la première fois que je l’ai vu. Il m’a fallu demander à ma sœur qui vit a Paris d’ amener Chroniques Birmanes avant la traduction et j’ai eu une petite surprise quand j’ai vu la couverture Brésilienne. Une addition à la différence des couleurs: ils ont aussi ajouté une encre plus brillante (détachée du fond) pour le titre et la figure de toi en poussant Louis. Malgré le jaune, la couverture est très attirante, je te jure que je l’ai vu et ça ma plu. (Un plus, les brésiliens sommes pas mal habitués aux combinaisons vert et jaune)

    La couverture de Pyongyang, par contre, est devenue vraiment mauvaise en comparaison à l’esthétique originale (euh, absolument mauvaise quand même). Peut être c’était pour donner un air plus patriotique et socialiste. Les régimes totalitaires de gauche, ça plait vraiment les artistes brésiliens, tu le verras.

    Est-ce qu’il y a une chance que tu seras à Rio aussi? Succès!

  16. Good evening Guy!

    Well, I just came here to tell you I love your books (at least the two they’ve published here in Brazil) and that I’m looking forward to meet you on FIQ (in case you don’t remember, the International Comic Book Festival) and have them autographed!
    Don’t you plan to write something about Brazil? I’m sure it’s full of bizarre stuff, enough to fill 3 or 4 books, hehe.
    See ya!

  17. il y a 2 ans je suis allée voir ma copine à Porto Alegre. je cherchais aussi à découvrir des auteurs de BDs intéressants. impossible de trouver le moindre magasin qui proposerait à la vente des oeuvres engagées, intimes et personnelles. au mieux quelques astérix et des trucs très laids sur un personnage de football pour les gosses. grosse déception.

  18. Je suis aller moi-même à Pyong Yang. Lire l’album, c’est tellement se retremper dans l’ambiance. Pyong Yang c’est extraordinaire pour les histoires abracadabrantes. Je me rapelle être aller au Koryo hotel pour souper, tu sais le resto qui tourne… on a du faire demi-tour. Il n’y avait pas de nouriture. Il doit y avoir 13 étages et seulement une d’occupée. Puis tu sais l’hotel en pyramide qui n’est pas terminée de construire. On a finit par savoir ce que c’était en parlant avec d’autre étrangers. Nos guides ne semblaient pas du tout voir ce monument architecturale. invisible. Es-tu aller au chack, tu sais le vendredi soir à L’onu? Une soirée symbiose entre le camps familiale et le bar, le tout en compagnie de jeunes de NGO, des ambassadeurs et de quelques originaux qui veulent partir une cie, en Coréee du Nord. J’ai tellement de bons souvenir de Pyong Yang!!! Merci d’avoir fait l’album, ça permet de le faire lire aux gens et de dire:C’est exactement ça!

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