Je me suis procurée en librairie toutes vos chroniques que je lis et relis. J’ai moi-même expérimenté la vie d’expat et je me plais à reconnaître bien des situations que vous dessinez et racontez avec justesse et humour.
Mais vos chroniques de jeunesse m’ont littéralement jetée par terre. Originaire de Baie-Comeau, une grande partie de ma famille maternel a travaillé pour la défunte Quebec north shore. Le moulin est fermé depuis peu et il y a quelque chose de désolant de voir le site sans activité.
Baie-Comeau a été fondée pour son
emplacement, idéal à l’époque pour
la construction d’une usine à papier (proximité d’un port en eaux profondes, forêts abondantes, hydroélectricité, etc.)
Enfin bref, sachez que j’ai aimé chacun de vos dessins, particulièrement ceux représentant le mécanisme des machines rouleaux. Je ne sais pas pourquoi, mais on ressent, quand on vous lis. Dans ces chroniques, on ressent la lenteur du travail, la chaleur, la vie d’ouvrier et l’étroitesse des possibles, le rapport au père absent, et bien d’autres choses.
When is the english version being published?
15 june 2021
Thanks Guy. Love your books. Just pre-ordered this one. Is it ever possible to order a signed copy?
Bonjour!
Je me suis procurée en librairie toutes vos chroniques que je lis et relis. J’ai moi-même expérimenté la vie d’expat et je me plais à reconnaître bien des situations que vous dessinez et racontez avec justesse et humour.
Mais vos chroniques de jeunesse m’ont littéralement jetée par terre. Originaire de Baie-Comeau, une grande partie de ma famille maternel a travaillé pour la défunte Quebec north shore. Le moulin est fermé depuis peu et il y a quelque chose de désolant de voir le site sans activité.
Baie-Comeau a été fondée pour son
emplacement, idéal à l’époque pour
la construction d’une usine à papier (proximité d’un port en eaux profondes, forêts abondantes, hydroélectricité, etc.)
Enfin bref, sachez que j’ai aimé chacun de vos dessins, particulièrement ceux représentant le mécanisme des machines rouleaux. Je ne sais pas pourquoi, mais on ressent, quand on vous lis. Dans ces chroniques, on ressent la lenteur du travail, la chaleur, la vie d’ouvrier et l’étroitesse des possibles, le rapport au père absent, et bien d’autres choses.
Merci!